A novel N-halamine monomer for preparing biocidal polyurethane coatings

Summaries

A novel N-halamine monomer has been prepared which can be copolymerised with a commercial water-borne acrylic polyol and a commercial isocyanate to produce a polyurethane coating which can be applied to a broad variety of surfaces. After curing, the coating can be chlorinated with a source of free chlorine, such as bleach, to render it biocidal. Once the coating loses its chlorine loading, and hence its biocidal activity, regeneration is possible by further exposure to free chlorine. In one experimental observation a coating on a wall retained its biocidal activity for more than six months. The biocidal coating should have many applications, for example, in medical facilities, in food preparation areas, in the prevention of biofouling in aqueous and humid environments, etc.

Résumé

Un nouveau monomère à la n-halamine a été préparé qui peut être copolymérisé avec un polyol acrylique hydrodiluable commercial et un isocyanate commercial afin de produire un revêtement polyuréthanique qui peut être appliqué à une large variété de surfaces. Après séchage le revêtement peut être chloré en utilisant une source de chlore libre, telle que l’eau de Javel, pour le rendre biocide. Une fois que le revêtement perd sa charge de chlore, et donc son activité biocide, la régénération est possible par le moyen d’une autre exposition au chlore libre. Au cours d’une certaine observation d’expérience on a noté que le revêtement d’un mur a retenu son activité biocide pendant plus de six mois. Le revêtement biocide devrait avoir de nombreuses applications, par example, dans les établissements médicaux, dans les lieux de préparation des produits alimentaires, dans le domaine de la prévention de la biocontamination des environnements humides ou aqueux, etc.

Zusammenfassung

Wir haben einen neuartigen N-Balaminmonomer hergestellt, der durch ein handelsübliches acrylisches Polyol und ein Isocyanat copolymerisiert werden kann. Der so erhaltene Lack kann auf eine weite Reihe von Oberflächen aufgetragen werden. Nach dem Härteprozess kann der Lack mit einem Produzenten von freiem Chlor wie Bleiche chloriniert werden, um die Biozidwirkung zu aktivieren. Da der Lack mit der Zeit seinen Chlorgehalt verliert und damit seine Wirkungskraft, kann diese Behandlung kann nach Bedarf wiederholt werden. Eines unserer Experimente zeigte dass der Lack seine Biozidwirkung für über sechs Monate beibehalten kann. Dieser Biozidlack dürfte vielfältig Anwendung finden, z. B. in Krankenhäusern, Küchen, zum Verhindern von Pilzbefall in feuchten Räumen und so weiter.