Commentaire de travail de S.-E. Kudo et al., pp. 869

 

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S.-E. Kudo, K. Wakamura, N. Ikehara, Y. Mori, H. Inoue, S. Hamatani. Diagnosis of colorectal lesions with a novel endocytoscopic classification – a pilot study

L’endoscopie à haute definition et les techniques de chromoendoscopie, virtuelle ounon, permettent une analyse de l’architecture de la surface épithéliale qui apporte des infomrations précieuses sur la nature des formations tumorakes colorectales. Cependant, la précision diagnsotique de ces méthodes est insuffisante pour déterminer le choix de l’exérèse et de l’analyse histologique. L’endocytosdcopie est une technique développée par Olympus pour obtenir des images de microscopie optique in vivo en plaçant l’objectif au contact de la muqueruse préalablement colorée par le bleu de méthymène et lz criqtak violet. Les détails observés sont de niveau cellulaire et se sitient dans le même ordre de gran,deur que l’endomicroscopie confocalen avec un champ de vision de quelques centaines de microns et une profondeur de champ de 50 microns. Dans sa dernière version, ce système a été intégré à l’endoscope sous forme d’une optique indépendante. Le Pr SE Kudo, père de la classification éponyme du pit patrern, a élaboré une classificatrion endocytoscopique de l’épithélium colorectal normazl et pathologique qui, dans cette étude a été testée dans un panel de patients. Chee 206 patients explorés par coloscopie, 196 avaient des images analysables qui pouvaient être comparées aux prélèvements biopsiques (213 échantillons). La classification comporte 4 principaux types, EC1a (normal), EC1b (hyperpklasique), EC2 (dysplasie) et EC3 (cancer), qui possèdent des sous-types. L’étude montre que la distinction entre les soyu-types non néoplasiques (EC1a et b) et néoplasiques (EC2 et plus) est possible avec une sensibilité et une spécificité de 100% après une lecture à l’aveuc = glke des séquences vbidéo par des endoscopistyes fotmé mùais ignorants des diagnsotics hostologiqyes, tndis que la distinction entre lédions, éoplasiques résécables endozscopiquement (moins grave que EC3b) et lésions ne relevant pas du traitement endoscopique (EC 3b et plus, correspoindant à sm ou pire), étaiet possible avec une se ed 90.1% et une sp de 99.2%. l’endocytoscopie, qui, entre les maisn d’experts japonais, procure des imùages de qualité remarquable, a donc un potentiel certain poyur la prise de décision endoscopiuque. Cependant, elle reste actuellement une technique de démponstration plus qu’une perspeective proche, en rasion, de son coût prohoibitif et de sa non-disponibilité.